Moral dans les chaussettes...
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Moral dans les chaussettes...
Quoique les chaussettes en pleine période estivale... :o Voui bin ça arrive, à ceux qui rigolent, qui font les clowns, les optimistes à tout crin, ceux qui ne montrent jamais rien pour ne pas "emmerder" les autres, qui ne s'épanchent guère mais somatisent volontiers
...Les "extra-terrestres", les affectueux, les candides, les lucides...
Ceux qui ne se contentent pas d'une façade de ville de far-west made in les studios de la paramount mais voudraient voir aussi ce qui se cache derrière...
Ceux qui en ont marre d'être politiquement corrects et de suivre l'air du temps ; "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, tout le monde il s'aime !"
C'est à l'échelle de l'infiniment petit que commence les révolutions... se révolter contre ce qu'il est de bon ton de ne pas voir, de ne pas (par lacheté ou par facilité) relever, ce dont il serait de mauvais goût de se formaliser, contre la tentation de ménager la chêvre et le chou pour avoir le crottin et la potée... les petites révolutions sont le ferment des grosses.
"T'as pas d'humour ?" voici la clef qui ouvre la porte du "no limites"...
(et puis je n'aime pas embrasser les murs; rugueux ils sont quoiqu'on en dise. :evil: )
De quoi souhaiter parfois être misanthrope; confort approximatif de l'âme (qui doit bien exister quelque part, celle là. ) Seul le fini souffre, l'infini repose dans le calme et la sérénité.... dit-on.
Ce soir, je me dois de l'avouer à regret, je n'ai toujours pas le mode d'emploi des humains mes semblables et ceux ci ne cessent de me surprendre, de me déconcerter.. quelque chose m'échappe... la vie est-elle un phénomène permanent de transmutation ? mais du plomb à l'or de la sérénité, que de chemin à parcourir... :lol:
Une chose m'a frappé (celle qui fait que dés qu'on l'a comprise, on est obligé de passer au palier suivant et de retirer les marches de la "leçon)... :
"lorsque tu es conscient de quelque chose, cette chose n'a plus lieu d'être."
En gros quand l'élève a assimilé la leçon, il peut changer de classe...Il n'est pas question ici de tolérance (ce qui amènerait à ne plus se respecter) ou de jugement puisque l'on a partagé la même "barque à effet miroir" à un certain moment sans le savoir, mais d'une simple constatation : la vie ne va pas en arrière et si l'on n'avance pas.. eh bien l'on stagne et tout votre être vous crie son mal-être, car lui il aspire à la Vie, il aspire à apprendre encore, à découvrir d'autres choses..et pourquoi pas à transmettre aussi...
Le "cocher" est arrivé, l'attelage est flambant neuf, les chevaux piaffent d'impatience...
En route et n'oublions pas de retirer "l'echelle" !
...Les "extra-terrestres", les affectueux, les candides, les lucides...
Ceux qui ne se contentent pas d'une façade de ville de far-west made in les studios de la paramount mais voudraient voir aussi ce qui se cache derrière...
Ceux qui en ont marre d'être politiquement corrects et de suivre l'air du temps ; "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, tout le monde il s'aime !"
C'est à l'échelle de l'infiniment petit que commence les révolutions... se révolter contre ce qu'il est de bon ton de ne pas voir, de ne pas (par lacheté ou par facilité) relever, ce dont il serait de mauvais goût de se formaliser, contre la tentation de ménager la chêvre et le chou pour avoir le crottin et la potée... les petites révolutions sont le ferment des grosses.
"T'as pas d'humour ?" voici la clef qui ouvre la porte du "no limites"...
(et puis je n'aime pas embrasser les murs; rugueux ils sont quoiqu'on en dise. :evil: )
De quoi souhaiter parfois être misanthrope; confort approximatif de l'âme (qui doit bien exister quelque part, celle là. ) Seul le fini souffre, l'infini repose dans le calme et la sérénité.... dit-on.
Ce soir, je me dois de l'avouer à regret, je n'ai toujours pas le mode d'emploi des humains mes semblables et ceux ci ne cessent de me surprendre, de me déconcerter.. quelque chose m'échappe... la vie est-elle un phénomène permanent de transmutation ? mais du plomb à l'or de la sérénité, que de chemin à parcourir... :lol:
Une chose m'a frappé (celle qui fait que dés qu'on l'a comprise, on est obligé de passer au palier suivant et de retirer les marches de la "leçon)... :
"lorsque tu es conscient de quelque chose, cette chose n'a plus lieu d'être."
En gros quand l'élève a assimilé la leçon, il peut changer de classe...Il n'est pas question ici de tolérance (ce qui amènerait à ne plus se respecter) ou de jugement puisque l'on a partagé la même "barque à effet miroir" à un certain moment sans le savoir, mais d'une simple constatation : la vie ne va pas en arrière et si l'on n'avance pas.. eh bien l'on stagne et tout votre être vous crie son mal-être, car lui il aspire à la Vie, il aspire à apprendre encore, à découvrir d'autres choses..et pourquoi pas à transmettre aussi...
Le "cocher" est arrivé, l'attelage est flambant neuf, les chevaux piaffent d'impatience...
En route et n'oublions pas de retirer "l'echelle" !
Dernière édition par NoHoax le Sam 3 Juil - 23:51, édité 4 fois
Re: Moral dans les chaussettes...
Ben oui, par ce temps, les chaussettes attrapent vite une odeur difficile à supporter, surtout dans un monde de nez bouchés ...
Révolution ou évolution ? J'ai justement eu une conversation hier soir avec ma sœur sur l'intégrité vis-à-vis de soi-même qui rejoint ce que tu dis. Des choses me paraissaient tellement évidentes, et je ne voyais pas la nécessité d'en parler. Elle m'a fait comprendre qu'étant donné mon niveau de conscience politique, je me trouvais dans la situation d'un étudiant du BAC qui vivrait dans un monde dont la plupart des gens sont en première primaire, et que c'est pour ça que j'avais du mal à comprendre qu'ils ont besoin d'évoluer pour me comprendre. Ou mieux que j'avais à mettre mon discours à leur niveau pour qu'ils puissent me comprendre.
T'as pas d'humour ? Tu ne sais pas t'amuser ? T'es à côté de la plaque ! Tu vois tout en noir ... Ce sont toutes expressions qu'on entend dès qu'on commence à raisonner par soi-même, à regarder les choses telles qu'elles sont (ou du moins à le tenter).
Finir misanthrope, il y a parfois de quoi, mais c'est inutile. Ça revient à refuser de semer parce qu'on ne sait pas à l'avance si la graine germera. Je préfère prendre exemple sur ces mémères qui couvrent de câlins des pinchers stupides et agressifs, parce qu'on ne sait jamais, il pourrait s'améliorer. J'aime bien cette image des chiens, qui me rappellent les trois chiens possibles en nous : le chien sauvage qui peut être domestiqué, le chien domestique auquel on peut faire faire et faire subir n'importe quoi sans qu'il se rebelle, et le chien domestique retourné à l'état sauvage, qui n'obéira plus jamais bêtement. Je préfère ces chiens aux moutons qui sont incapables de redevenir sauvages.
Le mode d'emploi, je ne l'ai pas non plus. Et c'est pas faute de l'avoir cherché, même demandé. :D Mais je ne pense plus qu'il soit nécessaire de l'avoir, il faut créer son propre mode d'emploi, pas s'adapter à un existant. Du plomb à l'or, quelle différence ? Quelques électrons, protons et neutrons, pas grand' chose. Et pourtant c'est tant la structure interne que les caractéristiques qui sont fondamentalement différentes. Si la structure même du noyau est modifiée, normal que les transformations se fassent sentir, non ? Mais n'oublie pas que le plomb est souvent intégré aux minerais les plus précieux. Attention tout de même à l'or des fous ! :D Il m'étonne tout de même que tu fasses comme si l'alchimie n'avait jamais servi de symbolique à l'évolution de l'humain ...
Oui, les autres "classes" existent, et c'est vrai qu'il est parfois difficile d'apprendre encore, d'assimiler ce qui a déjà été appris et d'enseigner en même temps. De l'utilité des pauses et des pétages de plombs (ou pétage d'or, peut-être ? :D )
En route ? Pour où ? Parce que si c'est pour l'infini, ça risque d'être loin ... C'est où, au fait ?
Révolution ou évolution ? J'ai justement eu une conversation hier soir avec ma sœur sur l'intégrité vis-à-vis de soi-même qui rejoint ce que tu dis. Des choses me paraissaient tellement évidentes, et je ne voyais pas la nécessité d'en parler. Elle m'a fait comprendre qu'étant donné mon niveau de conscience politique, je me trouvais dans la situation d'un étudiant du BAC qui vivrait dans un monde dont la plupart des gens sont en première primaire, et que c'est pour ça que j'avais du mal à comprendre qu'ils ont besoin d'évoluer pour me comprendre. Ou mieux que j'avais à mettre mon discours à leur niveau pour qu'ils puissent me comprendre.
T'as pas d'humour ? Tu ne sais pas t'amuser ? T'es à côté de la plaque ! Tu vois tout en noir ... Ce sont toutes expressions qu'on entend dès qu'on commence à raisonner par soi-même, à regarder les choses telles qu'elles sont (ou du moins à le tenter).
Finir misanthrope, il y a parfois de quoi, mais c'est inutile. Ça revient à refuser de semer parce qu'on ne sait pas à l'avance si la graine germera. Je préfère prendre exemple sur ces mémères qui couvrent de câlins des pinchers stupides et agressifs, parce qu'on ne sait jamais, il pourrait s'améliorer. J'aime bien cette image des chiens, qui me rappellent les trois chiens possibles en nous : le chien sauvage qui peut être domestiqué, le chien domestique auquel on peut faire faire et faire subir n'importe quoi sans qu'il se rebelle, et le chien domestique retourné à l'état sauvage, qui n'obéira plus jamais bêtement. Je préfère ces chiens aux moutons qui sont incapables de redevenir sauvages.
Je n'en sais rien, mais je ne pense pas. Je ne vois pas de lien entre la souffrance et la finitude. Peut-être cet "infini" permet-il de passer outre la souffrance, mais pas la supprimer.Seul le fini souffre, l'infini repose dans le calme et la sérénité.... dit-on.
Le mode d'emploi, je ne l'ai pas non plus. Et c'est pas faute de l'avoir cherché, même demandé. :D Mais je ne pense plus qu'il soit nécessaire de l'avoir, il faut créer son propre mode d'emploi, pas s'adapter à un existant. Du plomb à l'or, quelle différence ? Quelques électrons, protons et neutrons, pas grand' chose. Et pourtant c'est tant la structure interne que les caractéristiques qui sont fondamentalement différentes. Si la structure même du noyau est modifiée, normal que les transformations se fassent sentir, non ? Mais n'oublie pas que le plomb est souvent intégré aux minerais les plus précieux. Attention tout de même à l'or des fous ! :D Il m'étonne tout de même que tu fasses comme si l'alchimie n'avait jamais servi de symbolique à l'évolution de l'humain ...
Oui, les autres "classes" existent, et c'est vrai qu'il est parfois difficile d'apprendre encore, d'assimiler ce qui a déjà été appris et d'enseigner en même temps. De l'utilité des pauses et des pétages de plombs (ou pétage d'or, peut-être ? :D )
En route ? Pour où ? Parce que si c'est pour l'infini, ça risque d'être loin ... C'est où, au fait ?
Non2- Messages : 3620
Date d'inscription : 03/01/2010
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Re: Moral dans les chaussettes...
C'est drôle que tu me parle de l'alchimie non2... puis plus loin des pétages de plomb ou d'or :D
je me souviens de ce merveilleux livre sur nicolas flammel justement, avec ses essais de transmutations, ses attentes, ses espoirs décus, l'envie de jeter l'éponge puis soudain de continuer malgré tout, de poursuivre son oeuvre jusqu'au résultat final.. bien entendu dans l'athanor, ce fameux creuset, j'y ai vu toute la symbolique relative à notre condition d'humain, la recherche de ce que nous sommes.... tout nous y ramène, aussi altruiste qu'on peut être...
L'épanouissement de notre être, voilà peut-être le sens de la vie. (à notre échelle).
Ces passages que l'on retrouve dans toutes les mythologies et religions ou l'humain recherche à l'extérieur de lui, ce qu'il n'a pas trouvé à l'intérieur... cela va du pélerinage de flammel, à celui de coelho qui je pense, s'est inspiré de son histoire dans son "alchimiste", puis dans son " saint jacques de compostelle"... Mais Saint jacques de compostelle, ou "40" jours dans le désert, c'est du pareil au même... ce même besoin de lâcher prise avec nos exigences ou avec ce que l'on attend de nous...
Je suis souvent époustouflée par la somme de savoir que tu as pu mémoriser, dans tous les domaines et principalement la politique... Là encore la justice peut servir de point d'ancrage, je dirai plutôt d'instrument de mesure afin de naviguer en gardant le cap... car c'est bien complexe..(heureusement tu vulgarises ) et il m'arrive de croire que je commet une injustice en me forgeant une opinion sur des évènements révélés par une partie et occultés par une autre... car si je me base sur ce qu'il se passe dans la vie courante, ordinaire, force m'est de constater que ce ne sont pas ceux qui "braillent le plus fort" qui détiennent obligatoirement "la vérité" et que celle ci peut parfois surgir là ou on ne l'attend pas et surtout au moment ou on ne l'attend pas...
tant qu'il y aura la guerre à l'intérieur de nous, entre ce que nous sommes et ce que nous voudrions être ou ce que la société aimerait que nous soyons, il y aura des guerres dans le monde.. Tous les traités de paix sur papiers ne seront que du vent, tant que nous ne changerons pas nos coeurs et ça c'est le plus grand défi que l'humanité doit relever pour évoluer... (mais ceci n'est que mon opinion heing)
Si je dis que j'aimerai etre parfois misanthrope, prend le plutôt comme une idée farfelue, qui ne pourrait pas s'appliquer, je ne suis pas "formatée" pour. :D
ps : quelle chance as-tu d'avoir une soeur...
re ps : à demaing ! :D
je me souviens de ce merveilleux livre sur nicolas flammel justement, avec ses essais de transmutations, ses attentes, ses espoirs décus, l'envie de jeter l'éponge puis soudain de continuer malgré tout, de poursuivre son oeuvre jusqu'au résultat final.. bien entendu dans l'athanor, ce fameux creuset, j'y ai vu toute la symbolique relative à notre condition d'humain, la recherche de ce que nous sommes.... tout nous y ramène, aussi altruiste qu'on peut être...
L'épanouissement de notre être, voilà peut-être le sens de la vie. (à notre échelle).
Ces passages que l'on retrouve dans toutes les mythologies et religions ou l'humain recherche à l'extérieur de lui, ce qu'il n'a pas trouvé à l'intérieur... cela va du pélerinage de flammel, à celui de coelho qui je pense, s'est inspiré de son histoire dans son "alchimiste", puis dans son " saint jacques de compostelle"... Mais Saint jacques de compostelle, ou "40" jours dans le désert, c'est du pareil au même... ce même besoin de lâcher prise avec nos exigences ou avec ce que l'on attend de nous...
Je suis souvent époustouflée par la somme de savoir que tu as pu mémoriser, dans tous les domaines et principalement la politique... Là encore la justice peut servir de point d'ancrage, je dirai plutôt d'instrument de mesure afin de naviguer en gardant le cap... car c'est bien complexe..(heureusement tu vulgarises ) et il m'arrive de croire que je commet une injustice en me forgeant une opinion sur des évènements révélés par une partie et occultés par une autre... car si je me base sur ce qu'il se passe dans la vie courante, ordinaire, force m'est de constater que ce ne sont pas ceux qui "braillent le plus fort" qui détiennent obligatoirement "la vérité" et que celle ci peut parfois surgir là ou on ne l'attend pas et surtout au moment ou on ne l'attend pas...
tant qu'il y aura la guerre à l'intérieur de nous, entre ce que nous sommes et ce que nous voudrions être ou ce que la société aimerait que nous soyons, il y aura des guerres dans le monde.. Tous les traités de paix sur papiers ne seront que du vent, tant que nous ne changerons pas nos coeurs et ça c'est le plus grand défi que l'humanité doit relever pour évoluer... (mais ceci n'est que mon opinion heing)
Si je dis que j'aimerai etre parfois misanthrope, prend le plutôt comme une idée farfelue, qui ne pourrait pas s'appliquer, je ne suis pas "formatée" pour. :D
ps : quelle chance as-tu d'avoir une soeur...
re ps : à demaing ! :D
Re: Moral dans les chaussettes...
Ben l'alchimie, c'est toi qu'a commencé !
Je n'ai pas mémorisé tant que ça. A force de lire, on finit par retenir les choses principales et les modes de fonctionnement. Pour le reste, on a chacun nos petites zarchives et la capacité de fouiller sur le net pour rafraîchir la mémoire.
:Dla vie est-elle un phénomène permanent de transmutation ? mais du plomb à l'or de la sérénité, que de chemin à parcourir...
Je n'ai pas mémorisé tant que ça. A force de lire, on finit par retenir les choses principales et les modes de fonctionnement. Pour le reste, on a chacun nos petites zarchives et la capacité de fouiller sur le net pour rafraîchir la mémoire.
Justice, injustice, ce sont des notions qui sont personnelles à chacun de nous, donc dans l'absolu, ça ne veut rien dire. J'en suis arrivé à donner à ces mots un sens qui m'a longtemps révolté, leur sens étymologique : jus, juris le droit, c'est à dire à ne les considérer qu'en fonction du droit, des textes écrits par les riches et pour les riches. Ça en inverse souvent le sens par rapport à la définition émotive qu'on en a le plus souvent. Il faudrait donc dire équité, ou morale. Mais là encore par rapport à quoi ?... Là encore la justice peut servir ... ... ... il m'arrive de croire que je commet une injustice en ...
Attention à toi, elle a trouvé ton site (elle me l'a dit par mail cette nuit, donc tu risques de la voir se rappliquer ! :D D'ailleurs tu l'as déjà "rencontrée" sur la planque ....ps : quelle chance as-tu d'avoir une soeur... flower
Non2- Messages : 3620
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Re: Moral dans les chaussettes...
Salut Loa,
c'est moi la soeurette :D
J'aime bien ton site
" Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d’un pas ferme. (Saint Augustin)"
Cela m'a longtemps tracassé jusqu'à ce que je réalise que ce genre d'accusations sort généralement de la bouche de gens dont l'humour se limite à rabaisser, à casser (comme ils disent souvent) les autres. Ils croient qu'en mettant quelqu'un à genoux, ils grandissent. Ils se bercent d'illusion (gare à la chute :affraid: ), sont vide en eux-même, ont besoin de destituer l'autre de son essence pour se sentir en vie. Pas la peine d'y prêter attention. Tant qu'ils refusent de reconnaître le vide de leur vie, personne ne peut rien pour eux.
"Le piège de la haine, c'est qu'elle nous enlace trop étroitement à l'adversaire." [Milan Kundera L'insoutenable légèreté de l'être]
La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre. (A. Einstein)
J'arrète là, la tartine est déjà bien beurrée. Z'ai zété un pneu longue, sorry
c'est moi la soeurette :D
J'aime bien ton site
Je connais, je connais... Et pourtant, je suis persuadée que porter la charge des autres n'est en aucun cas une aide réelle. Au contraire, non seulement elle nous alourdi et nous retarde, mais elle empêche l'autre d'évoluer, d'apprendre ses leçons en quelques sortes. Le plus difficile là dedans, c'est que cela signifie parfois être capable de le voir souffrir, ou pire, être l'instrument qui provoque cette souffrance. Et puis l'équilibre "être présent" quand cela est nécessaire et "se retirer" quand il faut (ne pas porter) est difficile à établir. Je sais pas si je suis très claire là???NoHoax Hier à 23:22
ceux qui ne montrent jamais rien pour ne pas "emmerder" les autres, qui ne s'épanchent guère mais somatisent volontiers Smile
" Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d’un pas ferme. (Saint Augustin)"
C'est bien parce que ceux-là ébranle leur petit confort illusoire qu'ils les agressent.Ceux qui en ont marre d'être politiquement corrects et de suivre l'air du temps ; "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, tout le monde il s'aime !"
Toutafè! C'est à l'échelle de l'infiniment petit que que commence beaucoup de choses. Entre autres, les habitudes. C'est de la façon dont nous abordons les petites choses que nous aborderons les grandes le moment venu. C'est ce que beaucoup ne comprennent pas. Je crois que l'idée que nous pourrions adopter une attitude superficielle et désinvolte pour certaines choses et pas pour d'autres est déraisonnables. Ce sont les habitudes qui façonnent nos réflexes et croire que l'on peut se permettre n'importe quoi parce que "ce n'est qu'une petite chose, c'est pas important", c'est se voiler la face. J'ai l'impression d'être de moins en moins claire là, c'est difficile d'enfermer des convictions dans des mots.C'est à l'échelle de l'infiniment petit que commence les révolutions...
Tiens, c'est une phrase que j'entends souvent ça, ..."T'as pas d'humour ?"
Cela m'a longtemps tracassé jusqu'à ce que je réalise que ce genre d'accusations sort généralement de la bouche de gens dont l'humour se limite à rabaisser, à casser (comme ils disent souvent) les autres. Ils croient qu'en mettant quelqu'un à genoux, ils grandissent. Ils se bercent d'illusion (gare à la chute :affraid: ), sont vide en eux-même, ont besoin de destituer l'autre de son essence pour se sentir en vie. Pas la peine d'y prêter attention. Tant qu'ils refusent de reconnaître le vide de leur vie, personne ne peut rien pour eux.
Il n'y a que les gens malheureux pour souhaiter du mal. T'as souvent vu des gens heureux, contents, vouloir faire chi... leur monde toi?De quoi souhaiter parfois être misanthrope; confort approximatif de l'âme (qui doit bien exister quelque part, celle là. Suspect ) Seul le fini souffre, l'infini repose dans le calme et la sérénité.... dit-on.
"Le piège de la haine, c'est qu'elle nous enlace trop étroitement à l'adversaire." [Milan Kundera L'insoutenable légèreté de l'être]
Je crois pas qu'il y en a.je n'ai toujours pas le mode d'emploi des humains mes semblables
Ne crains pas d’avancer lentement, crains seulement de t’arrêter. (Sagesse chinoise)la vie ne va pas en arrière et si l'on avance pas.. eh bien l'on stagne et tout votre être vous crie son mal-être, car lui il aspire à la Vie, il aspire à apprendre encore, à découvrir d'autres choses..et pourquoi pas à transmettre aussi...
Le "cocher" est arrivé, l'attelage est flambant neuf, les chevaux piaffent d'impatience...
En route et n'oublions pas de retirer "l'echelle" !
La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre. (A. Einstein)
J'arrète là, la tartine est déjà bien beurrée. Z'ai zété un pneu longue, sorry
ciboulet- Invité
Re: Moral dans les chaussettes...
Merci.Jeff Aujourd'hui à 10:48
Bienvenue chez les ronchons, Ciboulette
Chez les ronchons? J'vais vite m'intégrer alors, suis râleuse professionnelle
ciboulet- Invité
Re: Moral dans les chaussettes...
M'aurait étonné que tu ne réagisses pas à ce sujet !
Non2- Messages : 3620
Date d'inscription : 03/01/2010
Age : 65
Localisation : Ici, là et ailleurs
Re: Moral dans les chaussettes...
J'avais pas encore choisi en fait, c'est toi qui a déterminé ce sujet en parlant de moi :bounce: :joker:Non2 Aujourd'hui à 12:00
M'aurait étonné que tu ne réagisses pas à ce sujet !
ciboulet- Invité
Re: Moral dans les chaussettes...
Ben voyons ! :Dciboulet a écrit:... c'est toi qui a déterminé ce sujet en parlant de moi :bounce: :joker:
Non2- Messages : 3620
Date d'inscription : 03/01/2010
Age : 65
Localisation : Ici, là et ailleurs
Re: Moral dans les chaussettes...
Hello ciboulette ! et jeff, et non2 et tous ceux qui passent.. lol
Tu as trouvé la porte ? J'adore les surprises et je dois l'avouer, rien de plus agréable que de se réveiller et de trouver une ciboulette dans son jardin... (tiens y'a plus de smileys ce matin ???)
si, si tu es claire.. j'avions tout bien compris sans décodeur.. je plussoie. une toute pitite précision.. bien entendu il n'est pas question de porter la charge d'autrui, ce qui serait l'affaiblir ou l'infantiliser ou les deux lol
me fait penser, quand il vous arrive une tuile, à ces personnes bien intentionnées qui vous assène un "ma pauvre, mais qu'est ce que tu vas devenir ?"...
ah merde, non seulement on se sent soudain encore plus misérable et en plus l'horizon vient de se boucher d'une force... mdr
Une écoute suffit. un zeste de compréhension sans parti pris (vu que l'on sait sa part de responsabilité dans ce que l'on récolte)..et l'on se sent reconnu... et comme on a besoin de cette "reconnaissance" (à moins d'être un surhomme ou une surfemme) pour fonctionner au mieux de ses capacités...
ps : tu as lu kundera ? je l'ai lu il y a 20 ans de cela, puis repris il y a 10 ans pour un éclairage nouveau.. eh bien, rien n'a changé; il me colle toujours autant le bourdon)
Non 2,
Par justice, j'entend "juste" tout simplement... ce qui ne spolie pas l'autre, qui ne cherche pas à l'assujettir, le rendre dépendant... mais il est vrai que ce mot englobe beaucoup de choses... et peut être au contraire un mal pour un bien si l'on ne voit qu'à court terme... bref oui, pas facile, pas évident.
Jeff, je laisse la cuisine aux cuisineux lol, j'ai échangé les fournaux contre les mots, et ca me va bien au teint finalement... (à croire qu'il y a des vitamines dedans). :P
ps : ciboulette : no soucis, la tartine est une spécialité maison...
Tu as trouvé la porte ? J'adore les surprises et je dois l'avouer, rien de plus agréable que de se réveiller et de trouver une ciboulette dans son jardin... (tiens y'a plus de smileys ce matin ???)
si, si tu es claire.. j'avions tout bien compris sans décodeur.. je plussoie. une toute pitite précision.. bien entendu il n'est pas question de porter la charge d'autrui, ce qui serait l'affaiblir ou l'infantiliser ou les deux lol
me fait penser, quand il vous arrive une tuile, à ces personnes bien intentionnées qui vous assène un "ma pauvre, mais qu'est ce que tu vas devenir ?"...
ah merde, non seulement on se sent soudain encore plus misérable et en plus l'horizon vient de se boucher d'une force... mdr
Une écoute suffit. un zeste de compréhension sans parti pris (vu que l'on sait sa part de responsabilité dans ce que l'on récolte)..et l'on se sent reconnu... et comme on a besoin de cette "reconnaissance" (à moins d'être un surhomme ou une surfemme) pour fonctionner au mieux de ses capacités...
ps : tu as lu kundera ? je l'ai lu il y a 20 ans de cela, puis repris il y a 10 ans pour un éclairage nouveau.. eh bien, rien n'a changé; il me colle toujours autant le bourdon)
Non 2,
Par justice, j'entend "juste" tout simplement... ce qui ne spolie pas l'autre, qui ne cherche pas à l'assujettir, le rendre dépendant... mais il est vrai que ce mot englobe beaucoup de choses... et peut être au contraire un mal pour un bien si l'on ne voit qu'à court terme... bref oui, pas facile, pas évident.
Jeff, je laisse la cuisine aux cuisineux lol, j'ai échangé les fournaux contre les mots, et ca me va bien au teint finalement... (à croire qu'il y a des vitamines dedans). :P
ps : ciboulette : no soucis, la tartine est une spécialité maison...
Re: Moral dans les chaussettes...
Non2: Ben vi, en voyant que tu prévenais de mon arrivée, je me suis lancée
NoHoax: Vi, zé trouvé la porte presque toute seule, comme une grande, zé ouvert, suis rentrée. Merci à tous pour l'accueil chaleureux :D :D :D
"...ce qui serait l'affaiblir ou l'infantiliser ou les deux lol
Voilà résumé en quelques mots tout un paragraphe
Je plussoie à 100% la lourdeur des gens bien intentionnés l'enfer est pavé de bonnes intentions Comme tu le dis, une simple écoute suffit, sans jugement, ni positif ni négatif, sans vain essai de trouver LA solution, ... juste pouvoir vider son sac, descendre jusqu'au fond du trou une bonne fois, le purger de l'inutile... et hop, c'est reparti, bon pied, bon oeil!...
Je ne sais pas si tu as vu "Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus", je trouve qu'il y explique très bien le phénomène, il l'appelle le creux de la vague. J'ai vu la piéce au théatre, tirée du livre que je n'ai pas encore lu. Je n'ai plus lu beaucoup depuis longtemps d'ailleurs, faudrait que je m'y remette.
Non, je n'ai lu aucun livre de kundera, juste des extraits que j'ai trouvé sur le net et que j'ai apprécié pour la plupart. C'est vrai que c'est pas gai; à petite doses, c'est bien passé. C'est si déprimant que ça?
Ok, pour les tartines, le seul truc, c'est qu'il me faut apprendre à aller plus vite pour les beurrer. Qu'est-ce que je suis lente à l'écrit!
NoHoax: Vi, zé trouvé la porte presque toute seule, comme une grande, zé ouvert, suis rentrée. Merci à tous pour l'accueil chaleureux :D :D :D
"...ce qui serait l'affaiblir ou l'infantiliser ou les deux lol
Voilà résumé en quelques mots tout un paragraphe
Je plussoie à 100% la lourdeur des gens bien intentionnés l'enfer est pavé de bonnes intentions Comme tu le dis, une simple écoute suffit, sans jugement, ni positif ni négatif, sans vain essai de trouver LA solution, ... juste pouvoir vider son sac, descendre jusqu'au fond du trou une bonne fois, le purger de l'inutile... et hop, c'est reparti, bon pied, bon oeil!...
Je ne sais pas si tu as vu "Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus", je trouve qu'il y explique très bien le phénomène, il l'appelle le creux de la vague. J'ai vu la piéce au théatre, tirée du livre que je n'ai pas encore lu. Je n'ai plus lu beaucoup depuis longtemps d'ailleurs, faudrait que je m'y remette.
Non, je n'ai lu aucun livre de kundera, juste des extraits que j'ai trouvé sur le net et que j'ai apprécié pour la plupart. C'est vrai que c'est pas gai; à petite doses, c'est bien passé. C'est si déprimant que ça?
Ok, pour les tartines, le seul truc, c'est qu'il me faut apprendre à aller plus vite pour les beurrer. Qu'est-ce que je suis lente à l'écrit!
ciboulet- Invité
Re: Moral dans les chaussettes...
Gasp ! les hommes viennent de mars et les femmes de vénus... voui, j'ai lu... failli le passer par la fenêtre, et l'auteur avec si je l'avais eu sous la main....
Bien entendu, les 3/4 du bouquin sont passés à la trappe de la mémoire... lol.. mais ce truc là,,,, c'est resté (je te le fais à la mode loa heing) :
L'Homme avec un grand H, fatigué, harassé par sa journée de travail rentre chez lui... en gros son patron lui a couru sur le système, (le sien de système nerveux a fait des noeuds), il a participé à des reunions, tenter de vendre l'invendable... bref il ne désire qu'une chose : le repos du "guerrier"...
Il ouvre la porte (sans sourire faut pas trop lui en demander ; il a du martyriser ses zygomatiques toute la journée pour des "abrutis" de clients qui en plus, n'ont pas signé),
C'est alors qu'en se dirigeant droit sur SON fauteuil, son plus fidèle ami, il aperçoit l'ombre d'une chose qui se dirige à grand pas vers lui...
La chose en question a passé elle aussi une journée épouvantable, mais comme il ne lui viendrait pas à l'esprit de se répandre, elle sourit et s'enquiert de celle du Guerrier....
STOP nous dit le bouquin ! not possibeule ! L'Homme a besoin de se retirer à l'intérieur de lui-même. in-dis-pen-sable ! C'est sa nature ces besoins là, c'est VITAL ! Et là l'auteur nous lance cette métaphore à la noix... "c'est comme un elastique qui se tend à l'infini, et qu'il ne faut pas déranger avant qu'il ne soit revenu à sa forme initiale..." GRRRRRRRR !
et plein de "recettes du même tonneau".. l'auteur est un gros macho !
sinon euh, tu as aimé me dis tu ? ......... (mode loa qui se fait toute petite lol)
______________
kundera, "l'insoutenable légéreté de l'être" ah voui, insoutenable et bien lourd pour qui le lit (lol dit l'hopital qui se moque de la charité en en faisant une tartine).
Tu situes facilement l'action dans les pays de l'est, avant la chute du mur... tu imagines la pluie tout le temps, le froid, un misérable logement à la peinture écaillée et suintante d'humidité, un vieux poele à charbon qui fume et quelques meubles d'une époque incertaine.. (j'ai rajouté aussi un vieux lit en fer rouillé qui grince quand le personnage principal fait des galipettes :P )
L'action :
Un célibataire endurci qui se prend pour casanova, "Tomass" voit arriver dans sa vie avec une valise (non ce n'est pas linda da suza) une fille complètement paumée, plus que lui que c'en est pas humain...
Et pendant tout le reste du bouquin, notre bonhomme croit philosopher sur son mal de vivre cette relation qui lui tombe du ciel (on dirait) et dont il est malgré tout dépendant à son corps (coeur ?)défendant...
Lui, fermement attaché à sa liberté et à son vagabondage seskuel, nous bassine sur ses états d'âme (grincante comme le vieux lit en fer), ses hésitations, ses conjectures dans lesquelles il se noie volontiers et le lecteur avec... :P Quand d'un coup; PAF ! On se retrouve avec un chapitre où un couple a un accident de voiture mais je n'ai pas compris qui, ni ce qu'ils venaient faire dans la trame de l'histoire mdr...
Le titre était bien pensé, l'écrivain torturé à souhait, et sa petite phrase devenue célèbre :.. " muss es sein ? es muss sein !" balancée à tout va hors contexte lui valut d'être repertorié comme philosophe... L'a fait fort le gus !
ps; sinon, ca va ciboulette ?
Bien entendu, les 3/4 du bouquin sont passés à la trappe de la mémoire... lol.. mais ce truc là,,,, c'est resté (je te le fais à la mode loa heing) :
L'Homme avec un grand H, fatigué, harassé par sa journée de travail rentre chez lui... en gros son patron lui a couru sur le système, (le sien de système nerveux a fait des noeuds), il a participé à des reunions, tenter de vendre l'invendable... bref il ne désire qu'une chose : le repos du "guerrier"...
Il ouvre la porte (sans sourire faut pas trop lui en demander ; il a du martyriser ses zygomatiques toute la journée pour des "abrutis" de clients qui en plus, n'ont pas signé),
C'est alors qu'en se dirigeant droit sur SON fauteuil, son plus fidèle ami, il aperçoit l'ombre d'une chose qui se dirige à grand pas vers lui...
La chose en question a passé elle aussi une journée épouvantable, mais comme il ne lui viendrait pas à l'esprit de se répandre, elle sourit et s'enquiert de celle du Guerrier....
STOP nous dit le bouquin ! not possibeule ! L'Homme a besoin de se retirer à l'intérieur de lui-même. in-dis-pen-sable ! C'est sa nature ces besoins là, c'est VITAL ! Et là l'auteur nous lance cette métaphore à la noix... "c'est comme un elastique qui se tend à l'infini, et qu'il ne faut pas déranger avant qu'il ne soit revenu à sa forme initiale..." GRRRRRRRR !
et plein de "recettes du même tonneau".. l'auteur est un gros macho !
sinon euh, tu as aimé me dis tu ? ......... (mode loa qui se fait toute petite lol)
______________
kundera, "l'insoutenable légéreté de l'être" ah voui, insoutenable et bien lourd pour qui le lit (lol dit l'hopital qui se moque de la charité en en faisant une tartine).
Tu situes facilement l'action dans les pays de l'est, avant la chute du mur... tu imagines la pluie tout le temps, le froid, un misérable logement à la peinture écaillée et suintante d'humidité, un vieux poele à charbon qui fume et quelques meubles d'une époque incertaine.. (j'ai rajouté aussi un vieux lit en fer rouillé qui grince quand le personnage principal fait des galipettes :P )
L'action :
Un célibataire endurci qui se prend pour casanova, "Tomass" voit arriver dans sa vie avec une valise (non ce n'est pas linda da suza) une fille complètement paumée, plus que lui que c'en est pas humain...
Et pendant tout le reste du bouquin, notre bonhomme croit philosopher sur son mal de vivre cette relation qui lui tombe du ciel (on dirait) et dont il est malgré tout dépendant à son corps (coeur ?)défendant...
Lui, fermement attaché à sa liberté et à son vagabondage seskuel, nous bassine sur ses états d'âme (grincante comme le vieux lit en fer), ses hésitations, ses conjectures dans lesquelles il se noie volontiers et le lecteur avec... :P Quand d'un coup; PAF ! On se retrouve avec un chapitre où un couple a un accident de voiture mais je n'ai pas compris qui, ni ce qu'ils venaient faire dans la trame de l'histoire mdr...
Le titre était bien pensé, l'écrivain torturé à souhait, et sa petite phrase devenue célèbre :.. " muss es sein ? es muss sein !" balancée à tout va hors contexte lui valut d'être repertorié comme philosophe... L'a fait fort le gus !
ps; sinon, ca va ciboulette ?
Dernière édition par NoHoax le Dim 4 Juil - 10:22, édité 3 fois
Re: Moral dans les chaussettes...
bonsoir no...jeff.....non
et bienvenue a toi ciboulette
le morale dans les chaussettes je l'ai souvent
je ne sais pas faire de spitch(je m'en excuse)
alors je met ces deux magnifiques textes plein de bon sens(peut etre l'ai je deja mise sur le fofo,tanpis)
Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs
humaines : la Bonne humeur, la Tristesse, la Sagesse... ainsi que tous les autres,
y compris l'Amour.
Un jour, on annonça que l'île allait être submergée.
Alors tous préparèrent leurs embarcations et s'enfuirent. Seul l'Amour resta,
attendant jusqu'au dernier moment. Quand l'île fut sur le point de disparaître,
l'Amour décida de demander de l'aide.
La Richesse passa près de l'Amour dans un bateau luxueux et l'Amour lui dit :
"Richesse, peux-tu m'emmener ?"
"Je ne le peux pas car j'ai beaucoup d'or et d'argent dans mon bateau et il n'y a pas
de place pour toi."
Alors l'Amour décida de demander à l'Orgueil qui passait dans un magnifique bateau :
"Orgueil, je t'en prie, emmène moi."
"Je ne peux pas t'emmener, Amour, tu pourrais détruire la perfection qui règne dans
mon bateau."
Ensuite l'Amour demanda à la tristesse qui passait par là :
"Tristesse, je t'en prie, emmène moi."
"Oh Amour" répondit la Tristesse "je suis si triste que j'ai besoin de rester seule."
Ensuite la Bonne humeur passa devant l'Amour, mais elle était si heureuse qu'elle
n'entendit pas qu'on l'appelait.
Soudain une voix dit :
"Viens, Amour, je t'emmène avec moi."
C'était un vieillard qui l'avait appelé. L'Amour était si heureux et si rempli de joie,
qu'il en oublia de lui demander son nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s'en
alla. L'Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir :
"Savoir, peux tu me dire qui est celui qui m'a aidé ?"
"C'est le Temps" répondit le Savoir"
"Le Temps ?", demanda l'Amour, "Pourquoi le Temps m'aurait-t'il aidé ?"
Le Savoir plein de sagesse répondit :
"Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important
dans la vie".
et le 2emes texte.....
C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. A un moment,
ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier, endolori
mais sans rien dire, écrivit dans le sable :
"AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A DONNE UNE GIFLE."
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de
se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre:
"AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda :
"Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre.
Pourquoi?"
L'autre ami répondit :
"Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du
pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous,
nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer."
APPRENDS A ECRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE
ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.
passer une bonne soirée mes amis(es)
et bienvenue a toi ciboulette
le morale dans les chaussettes je l'ai souvent
je ne sais pas faire de spitch(je m'en excuse)
alors je met ces deux magnifiques textes plein de bon sens(peut etre l'ai je deja mise sur le fofo,tanpis)
Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs
humaines : la Bonne humeur, la Tristesse, la Sagesse... ainsi que tous les autres,
y compris l'Amour.
Un jour, on annonça que l'île allait être submergée.
Alors tous préparèrent leurs embarcations et s'enfuirent. Seul l'Amour resta,
attendant jusqu'au dernier moment. Quand l'île fut sur le point de disparaître,
l'Amour décida de demander de l'aide.
La Richesse passa près de l'Amour dans un bateau luxueux et l'Amour lui dit :
"Richesse, peux-tu m'emmener ?"
"Je ne le peux pas car j'ai beaucoup d'or et d'argent dans mon bateau et il n'y a pas
de place pour toi."
Alors l'Amour décida de demander à l'Orgueil qui passait dans un magnifique bateau :
"Orgueil, je t'en prie, emmène moi."
"Je ne peux pas t'emmener, Amour, tu pourrais détruire la perfection qui règne dans
mon bateau."
Ensuite l'Amour demanda à la tristesse qui passait par là :
"Tristesse, je t'en prie, emmène moi."
"Oh Amour" répondit la Tristesse "je suis si triste que j'ai besoin de rester seule."
Ensuite la Bonne humeur passa devant l'Amour, mais elle était si heureuse qu'elle
n'entendit pas qu'on l'appelait.
Soudain une voix dit :
"Viens, Amour, je t'emmène avec moi."
C'était un vieillard qui l'avait appelé. L'Amour était si heureux et si rempli de joie,
qu'il en oublia de lui demander son nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s'en
alla. L'Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir :
"Savoir, peux tu me dire qui est celui qui m'a aidé ?"
"C'est le Temps" répondit le Savoir"
"Le Temps ?", demanda l'Amour, "Pourquoi le Temps m'aurait-t'il aidé ?"
Le Savoir plein de sagesse répondit :
"Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important
dans la vie".
et le 2emes texte.....
C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. A un moment,
ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier, endolori
mais sans rien dire, écrivit dans le sable :
"AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A DONNE UNE GIFLE."
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de
se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre:
"AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda :
"Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre.
Pourquoi?"
L'autre ami répondit :
"Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du
pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous,
nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer."
APPRENDS A ECRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE
ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.
passer une bonne soirée mes amis(es)
samus aran- Messages : 146
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Re: Moral dans les chaussettes...
Salut Samus !
Peut-être, mais tu contes bien, et tu sais faire les tartines ! :Dje ne sais pas faire de spitch
Non2- Messages : 3620
Date d'inscription : 03/01/2010
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Localisation : Ici, là et ailleurs
Re: Moral dans les chaussettes...
Bonsoir NoHoax, bonsoir samus aran,
Merci pour ton accueil, samus aran, j'aime beaucoup tes 2 textes.
NoHoax, je ne m'étalerai pas ce soir, je tombe de sommeil.
Demain sans faute.
J'en profiterai pour passer à l'inscription m'enraciner dans ton jardin si tu es d'accord.
Je m'en vais voir Morphée maintenant. :x53x: Bonne nuit à tous,
Merci pour ton accueil, samus aran, j'aime beaucoup tes 2 textes.
NoHoax, je ne m'étalerai pas ce soir, je tombe de sommeil.
Demain sans faute.
J'en profiterai pour passer à l'inscription m'enraciner dans ton jardin si tu es d'accord.
Je m'en vais voir Morphée maintenant. :x53x: Bonne nuit à tous,
ciboulet- Invité
Re: Moral dans les chaussettes...
Merci samus Elles sont émouvantes tes histoires et en même temps on en tire de la force.. du coup je ne trouve plus les mots, ni de spitch (tu vois, des fois on ne sait pas faire même les plus bavards... )
pas de tartine du souar, là, mais de gros bisous qui vont voler jusqu'au pays cht'i et se poser sur tes joues.
No
Bonne nuit ciboulette,
volontiers, je suis très heureuse de te compter parmi nous.
pas de tartine du souar, là, mais de gros bisous qui vont voler jusqu'au pays cht'i et se poser sur tes joues.
No
Bonne nuit ciboulette,
volontiers, je suis très heureuse de te compter parmi nous.
Re: Moral dans les chaussettes...
Bonsoir tous,
Oui, j'ai bien aimé "Les hô....Mars, les fê ... Vénus",version monologue sur scène, je n'ai pas lu le bouquin. C'est vrai que c'est très caricatural, même cliché, mais j'ai bien aimé, des idées à creuser et je trouve qu'il en a autant pour les hommes que pour les femmes. (C'est vrai que je suis une fada du fonctionnement de l'esprit humain ). Je le répète, je n'ai pas lu le livre, je l'ai vu au théâtre, résumé d'une heure et demi seulement. Pas besoin de te faire toute petite si tu n'as pas aimé, chacun ses goûts, ses perceptions, il n'y a pas de mal a ça; même si j'ai eu envie de faire de même en te lisant :silent:
Kundera: en effet, ça a l'air enthousiasment! . ça ne donne pas envie de lire
muss es sein ? es muss sein, je connaissais pas, j'ai regardé sur google pour connaître la signification, j'aime pas Me fais penser à l'enfer de mon mois de juin (résumé: bourrage de crâne jobcoaching ou comment il faut devenir pour trouver du travail. Réponse: devenez menteur, manipulateur, arriviste, sans cœur et sans conscience,...
"il le faut, sinon vous resterez un moins que rien sans emploi".
"Mais m'sieur, j'saurais pas! c'est contraire à mes principes.",
"il le faut, sinon vous resterez un moins que rien sans emploi".
"Je refuse "
"Mais tu est trop rigide, il faut assouplir tes principes, fais un effort, le temps de trouver une place, tu pourras redevenir toi après, etc..."
Ah ah ah la bonne blague, ...., )
M'étonne pas qu'ils l'ai récupérer pour en faire un philosophie, efficace pour manipuler, désolidariser les masses et les empêcher de se regrouper pour faire valoir leur droits.
Sinon, je vais bien, surtout depuis que je suis sortie de là. Je m'occupe de mon jardin qui m'a généreusement offert quelques 6 kilos de groseilles rouges, sans compter tout ce que j'ai laissé aux oiseaux, de mes roses, de mes chats, mon frère m'a offert un jeune fushia, j'ai droit presque tous les soirs à de magnifiques couchers de soleil, bref, la vie est douce vue sous cet angle
Oui, j'ai bien aimé "Les hô....Mars, les fê ... Vénus",version monologue sur scène, je n'ai pas lu le bouquin. C'est vrai que c'est très caricatural, même cliché, mais j'ai bien aimé, des idées à creuser et je trouve qu'il en a autant pour les hommes que pour les femmes. (C'est vrai que je suis une fada du fonctionnement de l'esprit humain ). Je le répète, je n'ai pas lu le livre, je l'ai vu au théâtre, résumé d'une heure et demi seulement. Pas besoin de te faire toute petite si tu n'as pas aimé, chacun ses goûts, ses perceptions, il n'y a pas de mal a ça; même si j'ai eu envie de faire de même en te lisant :silent:
Kundera: en effet, ça a l'air enthousiasment! . ça ne donne pas envie de lire
muss es sein ? es muss sein, je connaissais pas, j'ai regardé sur google pour connaître la signification, j'aime pas Me fais penser à l'enfer de mon mois de juin (résumé: bourrage de crâne jobcoaching ou comment il faut devenir pour trouver du travail. Réponse: devenez menteur, manipulateur, arriviste, sans cœur et sans conscience,...
"il le faut, sinon vous resterez un moins que rien sans emploi".
"Mais m'sieur, j'saurais pas! c'est contraire à mes principes.",
"il le faut, sinon vous resterez un moins que rien sans emploi".
"Je refuse "
"Mais tu est trop rigide, il faut assouplir tes principes, fais un effort, le temps de trouver une place, tu pourras redevenir toi après, etc..."
Ah ah ah la bonne blague, ...., )
M'étonne pas qu'ils l'ai récupérer pour en faire un philosophie, efficace pour manipuler, désolidariser les masses et les empêcher de se regrouper pour faire valoir leur droits.
Sinon, je vais bien, surtout depuis que je suis sortie de là. Je m'occupe de mon jardin qui m'a généreusement offert quelques 6 kilos de groseilles rouges, sans compter tout ce que j'ai laissé aux oiseaux, de mes roses, de mes chats, mon frère m'a offert un jeune fushia, j'ai droit presque tous les soirs à de magnifiques couchers de soleil, bref, la vie est douce vue sous cet angle
ciboulette- Messages : 270
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Re: Moral dans les chaussettes...
Coucou, ciboulette !
Copieuse !!! :D
Dans la série, jobcoatching, tu as là en ma personne également une ex victime de Paul emploi, le torquemada du chomeur... les stages pour savouar se vendre, les relooking obligatoires à "tataouine", les prestataires de services qui établissent votre profil et déterminent le métier qui vous convient le mieux... les modules censés vous caser même si personne ne veut de vous parceque vous dépassez un chouia la date de péremption.... mdr
Après examen minutieux de mes tests de personnalité, il fut convenu que le meilleur métier qui puisse me convenir était celui de "dresseuse d'ours" :D (véridique)
deux ans de recherche des cv à refaire selon chaque métier exercé (j'en ai exercé 10000 au moins lol) des listes d'entreprises à contacter par tél puis par mail, les réponses des responsables à rentrer dans des petites cases et j'en passe sans compter la pression (un max)...
de quoi péter tous les boulons;...
C'est bien aussi de planter des arbres .. moi j'élève des guêpes, des fourmis et des escargots...
N'écoute pas trop ce que je raconte sur les hommes viennent de mars et les femmes de vénus, Ciboulette, si l'auteur m'a horripilé, il n'est pas pour autant dans le faux tout le temps...on trouve ce dont on a besoin dont n'importe quel matériau. tout finalement n'est affaire que de contexte et de personnalité..
Copieuse !!! :D
Dans la série, jobcoatching, tu as là en ma personne également une ex victime de Paul emploi, le torquemada du chomeur... les stages pour savouar se vendre, les relooking obligatoires à "tataouine", les prestataires de services qui établissent votre profil et déterminent le métier qui vous convient le mieux... les modules censés vous caser même si personne ne veut de vous parceque vous dépassez un chouia la date de péremption.... mdr
Après examen minutieux de mes tests de personnalité, il fut convenu que le meilleur métier qui puisse me convenir était celui de "dresseuse d'ours" :D (véridique)
deux ans de recherche des cv à refaire selon chaque métier exercé (j'en ai exercé 10000 au moins lol) des listes d'entreprises à contacter par tél puis par mail, les réponses des responsables à rentrer dans des petites cases et j'en passe sans compter la pression (un max)...
de quoi péter tous les boulons;...
C'est bien aussi de planter des arbres .. moi j'élève des guêpes, des fourmis et des escargots...
N'écoute pas trop ce que je raconte sur les hommes viennent de mars et les femmes de vénus, Ciboulette, si l'auteur m'a horripilé, il n'est pas pour autant dans le faux tout le temps...on trouve ce dont on a besoin dont n'importe quel matériau. tout finalement n'est affaire que de contexte et de personnalité..
Re: Moral dans les chaussettes...
Bizarre, je n'avais pas entendu ça comme une contrainte, mais comme une interrogation.
Quand Beethoven a écrit ça sur sa partition, se demandait-il si son passage devait être ou se posait-il la question, comme le suppose Ferré, de savoir si la musique devait être dans les salons ou dans la rue ? Cela devait-il être ? Cela a été.
C'est un questionnement que tous les créateurs doivent se poser un jour, je pense, qu'ils soient écrivains, musiciens, poètes ... Et pas seulement les artistes, mais aussi ceux qui transforment, ceux qui se révoltent, ceux qui font évoluer.
Quand Neruda a été en fuite, s'est-il posé la question de savoir s'il devait rester ou s'exiler ? Son choix a été à l'inverse de celui de Victor Jara. Cela devait-il être ? Cela a du être. Quand guevarra s'est lancé dans la guerrilla, il a du se demander s'il valait la peine de risquer tant de vies sans savoir si ça réusirait ... cela devait-il être ? Cela a été.
Et tant d'autres.
PS : en relisant, je vois que vous mettez cette phrase comme étant de Kundera, que je n'ai pas lu. Je me réfère à la phrase originale, écrite par L. van Beethoven sur une de ses partitions, un moment de doute.
Quand Beethoven a écrit ça sur sa partition, se demandait-il si son passage devait être ou se posait-il la question, comme le suppose Ferré, de savoir si la musique devait être dans les salons ou dans la rue ? Cela devait-il être ? Cela a été.
C'est un questionnement que tous les créateurs doivent se poser un jour, je pense, qu'ils soient écrivains, musiciens, poètes ... Et pas seulement les artistes, mais aussi ceux qui transforment, ceux qui se révoltent, ceux qui font évoluer.
Quand Neruda a été en fuite, s'est-il posé la question de savoir s'il devait rester ou s'exiler ? Son choix a été à l'inverse de celui de Victor Jara. Cela devait-il être ? Cela a du être. Quand guevarra s'est lancé dans la guerrilla, il a du se demander s'il valait la peine de risquer tant de vies sans savoir si ça réusirait ... cela devait-il être ? Cela a été.
Et tant d'autres.
PS : en relisant, je vois que vous mettez cette phrase comme étant de Kundera, que je n'ai pas lu. Je me réfère à la phrase originale, écrite par L. van Beethoven sur une de ses partitions, un moment de doute.
Non2- Messages : 3620
Date d'inscription : 03/01/2010
Age : 65
Localisation : Ici, là et ailleurs
Re: Moral dans les chaussettes...
J'avais complètement occulté l'origine de cette phrase.. "es muss sein, muss es sein... il le faut !!! mais le faut il vraiment ???.... je me trompe peut etre...
Dans " l'insoutenable légereté de l'être", elle m'apparait justement comme une contrainte que s'impose le personnage principal, subir ce qu'il n'a pas réellement choisi bien qu'en acceptant le fait il ait fait un choix.. quoique finalement il aimerait également faire le choix de ne pas choisir, confort suprème et s'en remettre à la providence, mais ca ne se passe pas comme cela entre soi et soi généralement... d'ou son inconfort...
c'est ce que j'en ai déduis à cette heure ci et en mobilant tous les neurones de garde, mais je peux etre complètement à coté de la plaque aussi :D
Dans " l'insoutenable légereté de l'être", elle m'apparait justement comme une contrainte que s'impose le personnage principal, subir ce qu'il n'a pas réellement choisi bien qu'en acceptant le fait il ait fait un choix.. quoique finalement il aimerait également faire le choix de ne pas choisir, confort suprème et s'en remettre à la providence, mais ca ne se passe pas comme cela entre soi et soi généralement... d'ou son inconfort...
c'est ce que j'en ai déduis à cette heure ci et en mobilant tous les neurones de garde, mais je peux etre complètement à coté de la plaque aussi :D
Re: Moral dans les chaussettes...
NoHoax: Je vois que tu vois de quoi il s'agit.... J'adore comment tu le racontes
C'est mon frère qui plante les arbres, moi je les regarde pousser. :queen:
Les guêpes, j'ai pas, les fourmis et les escargots n'ont qu'a se débrouiller. . Pas encore fait grand chose dans le jardin, pas le temps en juin, et depuis juillet, je récupére Faudra quand même que je m'y remette
Mais si j'écoute ce que tu racontes, ça m'intéresse.
Bonsoir non2,
d'accord avec ta vision de la chose, j'avais vu aussi le morceau de Léo Ferré dans mes recherches et préférait nettement cette interprétation aux premiers résultats trouvés sur google. J'avoue que je n'ai pas cherché trois heures et pour ne pas répondre dans 15 jours, j'ai remis les recherches approfondies à plus tard et j'ai choisi de me cantonner à la vision la plus courante puisque nous parlions principalement de la récupération de cette expression.
C'est mon frère qui plante les arbres, moi je les regarde pousser. :queen:
Les guêpes, j'ai pas, les fourmis et les escargots n'ont qu'a se débrouiller. . Pas encore fait grand chose dans le jardin, pas le temps en juin, et depuis juillet, je récupére Faudra quand même que je m'y remette
Mais si j'écoute ce que tu racontes, ça m'intéresse.
Bonsoir non2,
d'accord avec ta vision de la chose, j'avais vu aussi le morceau de Léo Ferré dans mes recherches et préférait nettement cette interprétation aux premiers résultats trouvés sur google. J'avoue que je n'ai pas cherché trois heures et pour ne pas répondre dans 15 jours, j'ai remis les recherches approfondies à plus tard et j'ai choisi de me cantonner à la vision la plus courante puisque nous parlions principalement de la récupération de cette expression.
Merci d'avoir remis les pendules à l'heure.Le titre était bien pensé, l'écrivain torturé à souhait, et sa petite phrase devenue célèbre :.. " muss es sein ? es muss sein !" balancée à tout va hors contexte lui valut d'être repertorié comme philosophe... L'a fait fort le gus !
ciboulette- Messages : 270
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Re: Moral dans les chaussettes...
Doit être sacrement torturé, le mec, avec ses trois neurones en guerre les uns contre les autres ..NoHoax a écrit:... Dans " l'insoutenable légereté de l'être", elle m'apparait justement comme une contrainte que s'impose le personnage principal, subir ce qu'il n'a pas réellement choisi bien qu'en acceptant le fait il ait fait un choix.. quoique finalement il aimerait également faire le choix de ne pas choisir, confort suprème et s'en remettre à la providence, mais ca ne se passe pas comme cela entre soi et soi généralement... d'ou son inconfort...
Non2- Messages : 3620
Date d'inscription : 03/01/2010
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Re: Moral dans les chaussettes...
"mon frère s'occupe de planter des arbres"...
J'avais une autre idée de la relation fraternelle, genre :
- "tiens bonjour je passais devant chez toi soeurette, tu me fais un café ?"
Il semblerait que cela soit plutôt :
- "Tiens bonjour, je passais devant chez toi soeurette; je te plante un arbre ??? :D
je suis tout de même rassurée, si l'amazonie venait à etre entièrement déboisée, il restera un endroit dans le monde où......
mici pour le ciboulette ; je nous le garde au chaud... :lol:
J'avais une autre idée de la relation fraternelle, genre :
- "tiens bonjour je passais devant chez toi soeurette, tu me fais un café ?"
Il semblerait que cela soit plutôt :
- "Tiens bonjour, je passais devant chez toi soeurette; je te plante un arbre ??? :D
je suis tout de même rassurée, si l'amazonie venait à etre entièrement déboisée, il restera un endroit dans le monde où......
mici pour le ciboulette ; je nous le garde au chaud... :lol:
Dernière édition par NoHoax le Lun 5 Juil - 12:28, édité 2 fois
Re: Moral dans les chaussettes...
ah on a posté en meme temps non 2
voui ca pour être torturé.. c'est simple j'avions envie de le baffer tellement il m'enervait avec ses questions existentielles dans lesquelles il s'empêtrait avec une jouissance non feinte dont sade serait le premier à etre jaloux... :D
L'ai lu deux fois, rien compris, du coup l'est passé direct à la poubelle... je n'infligerai pas ca à mon pire ennemi...
par contre, j'ai adoré kafka et sa métamorphose.. un chef d'oeuvre
voui ca pour être torturé.. c'est simple j'avions envie de le baffer tellement il m'enervait avec ses questions existentielles dans lesquelles il s'empêtrait avec une jouissance non feinte dont sade serait le premier à etre jaloux... :D
L'ai lu deux fois, rien compris, du coup l'est passé direct à la poubelle... je n'infligerai pas ca à mon pire ennemi...
par contre, j'ai adoré kafka et sa métamorphose.. un chef d'oeuvre
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