Week-end lecture...
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Week-end lecture...
Pas pu résister... Un pavé de 950 pages en édition de poche dans mon supermarché et qui me tendait les bras... Selon les critiques, l'un des meilleurs romans historiques qui soit... :
"La Religion", c'est le nom que se donne l'ordre des Hospitaliers, mais c'est aussi la banière sous laquelle se rallie parfois la folie des hommes..
En 1565, claustrés sur leur petit archipel au sud de la Sicile, les chevaliers de Malte, s'apprêtent à recevoir les furieux assauts de l'armée Ottomane... A un contre cinq, les chrétiens tiennent le siège au prix de combats effroyables. Un déchaînement de violence dans lequel se trouve entraîné Mattias Tannhauser, un ancien janissaire qui a connu les deux camps.
Pour les beaux yeux de la comtesse Carla le Penautier, le trafiquant d'armes et d'opium embarque pour l'enfer....
Malte et ses bastions...
Extrait
"La Religion", c'est le nom que se donne l'ordre des Hospitaliers, mais c'est aussi la banière sous laquelle se rallie parfois la folie des hommes..
En 1565, claustrés sur leur petit archipel au sud de la Sicile, les chevaliers de Malte, s'apprêtent à recevoir les furieux assauts de l'armée Ottomane... A un contre cinq, les chrétiens tiennent le siège au prix de combats effroyables. Un déchaînement de violence dans lequel se trouve entraîné Mattias Tannhauser, un ancien janissaire qui a connu les deux camps.
Pour les beaux yeux de la comtesse Carla le Penautier, le trafiquant d'armes et d'opium embarque pour l'enfer....
Malte et ses bastions...
Extrait
Le shah Solliman (le magnifique), était réellement le roi des rois. Mais grand ou petit, c'était le jeu qui donnait saveur à sa vie et qui rendait la guerre, au-dessus de toute autre entreprise, si éternellement irrésistible à l'espèce.
Aussi enhardi par l'exemple de Soliman, Tannhauser chevauchait dans ce tourbillon incessant. Il portait un magnifique caftan vert, un turban blanc et un cimeterre....
......Les odeurs, les couleurs et les sons, la précision raffinée de la machine ottomane malgré le chaos de la conquête, ravivaient en lui plus que des souvenirs. Au delà des murs du Borgo, Malte faisait déjà partie du royaume du Sultan et cela lui évoquait une manière d'être, de sentir et de percevoir, de marcher, de parler et de rire qui avait été forgée jusqu'au plus profond de lui. Comme tout homme revenant dans un monde ou il avait habité jadis avant de l'abandonner, il ressentait une douce amertume, qui devenait nostalgie poignante quand un orta de janissaires passait avec leurs longs borks blancs, lerus mousquets de neuf paumes et leur maintien parfais...
..... il avait été un kullar, l'esclave du sultan............
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