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Israël - Liban

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 :: Politique

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Message  Non2 Sam 11 Juin - 21:16

Il y a de nouvelles tensions entre Israël et le Liban, à cause de la prétention d'Israël de s'approprier le gaz de toute la région, et pas seulement sur son territoire. (Résumé sur le Réseau Voltaire)

Israël attaquera-t-il le Liban pour lui voler son gaz ?
par Alfredo Jalife-Rahme 18 août 2010

Ce n’est plus un secret : de très importants gisements de gaz et de pétrole sont situés en Méditerranée au large de Chypre, du Liban, de Gaza… et d’Israël. Compte tenu des appétits et des méthodes du régime de Tel-Aviv, le partage des richesses semble impossible. Pour le géopoliticien mexicain Alfredo Jalife-Rahme, la question est de savoir si Israël se contentera de voler les réserves de ses voisins en les siphonnant grâce à des technologies sophistiquées, ou s’il s’emparera de leurs gisements par la force.

Plusieurs analystes expérimentés ont compris que derrière la guerre d’Israël contre Gaza —gouverné par le groupe islamique sunnite Hamas— se trouve un enjeu caché : les pléthoriques gisements de gaz des côtes palestiniennes en Méditerranée.

Bien que doté d’un maximum de 400 bombes nucléaires et de la meilleure aviation de tout le Proche-Orient —à présent on ne peut plus affirmer qu’il possède la meilleure armée de la région après ses récents revers aussi bien au Sud du Liban contre la guérilla islamique chiite qu’à Gaza face au Hamas— Israël affiche deux points faibles incontestables :
- 1. l’eau, raison pour laquelle il ne se résout pas à restituer à la Syrie les territoires occupés du plateau du Golan, bordant le lac de Tibériade (Galilée) et
- 2. le pétrole, il importe plus de 300 000 barils par jour (pour la plupart, en provenance d’Égypte), tandis que sa production de gaz destinée à la consommation nationale est extrêmement réduite.

Je viens de rentrer d’un voyage d’un mois en Grèce, au Liban et en Turquie, où j’ai mesuré l’importance stratégique du gaz, aussi bien pour Gaza que pour le Liban, enfoui sous les eaux communes à Israël et à l’île de Chypre (elle même divisée en partie grecque et turque).

Naharnet (28 juin 2010), un site libanais pro-occidental, dit très justement que les réserves de gaz reparties entre les eaux du Liban et d’Israël peuvent représenter une énorme manne financière, mais qu’elles peuvent également susciter une nouvelle guerre d’Israël contre son faible voisin du nord.

La situation est dramatique car les deux Etats, aussi bien le Liban qu’Israël, sont énormément tributaires des importations d’hydrocarbures.

Quant au Liban, son cas est le plus grave car il est éprouvé par le piteux état de son système de production électrique, qui n’a pu être ni réparé, ni modernisé après 15 ans de guerre civile.

Que cela plaise ou non, face à la cupidité israélienne, ce n’est rien de moins que la guérilla chiite du Hezbollah qui s’est chargée de la défense du gaz libanais. Jusqu’à présent, mis à part le Hezbollah [1], personne d’autre dans la vaste mosaïque libanaise n’a manifesté ouvertement sa position sur ce sujet, qui est loin d’être un sujet de moindre importance et qui peut dégager de grands bénéfices politiques et financiers ou, à défaut, dégénérer en une guerre d’Israël contre le Liban (et non le contraire).

Non sans se référer à des précédents et à des justifications historiques, le Hezbollah accuse Israël de programmer le “vol” du gaz naturel des eaux territoriales libanaises. Les chiites du Sud du pays en ont acquis une grande expérience lors du pillage par Israël des eaux du fleuve Litani.

De son côté, Israël rétorque que les champs pétrolifères et gaziers qu’il exploite ne s’étendent pas jusqu’aux eaux libanaises.

Le problème réside en ce que les limites territoriales —et par extension, les limites maritimes— n’ont toujours pas été fixées, du fait que les deux pays sont techniquement encore en guerre.

Israël a déjà commencé —grâce à un développement technologique plus avancé et à la complicité des compagnies pétrolières et gazières anglo-saxonnes— à développer les deux champs de Tamar et Dalit, dont les abondantes réserves ont fait s’envoler la Bourse de Tel-Aviv, exactement le même jour où le duo Netanyahu-Lieberman était frappé de répudiation mondiale à cause de sa piraterie meurtrière en eaux internationales contre un navire turc d’aide humanitaire destiné à Gaza (la plus grande prison à ciel ouvert du monde).

Les réserves découvertes dans les champs de Tamar et de Dalit sont colossales : 160 milliards de mètres cubes avec lesquels on peut satisfaire les besoins des Israéliens pendant deux décennies.

La compagnie pétrolière et gazière texane Noble Energy, qui fait partie du consortium chargé des explorations des gisements gaziers de la partie soi-disant israélienne de la Méditerranée, a estimé que grâce à la découverte d’un troisième champ —dont le nom, d’intéressante portée sémantique, est Léviathan (de 450 milliards de mètres cubes, presque trois fois ce qui contiennent les gisements de Tamar et Dalit)— Israël pourrait devenir un riche exportateur vers l’Europe et l’Asie.

Pour le moment, Nabih Berri, président du Parlement libanais, et de surcroît, allié du Hezbollah, a condamné le fait qu’Israël soit en train de se transformer en “émirat pétrolier” grâce à du gaz qui ne lui appartient pas, en déniant le fait que ces champs s’étendent jusqu’aux eaux territoriales du Liban. Le Liban reproduira-t-il face à Israël les expériences tragiques que le Mexique vit aujourd’hui face aux États-Unis pour ce qui est des gisements “transfrontaliers” dont il est dépouillé par les compagnies pétrolières et gazières texanes grâce à la technologie cleptomane du siphonnage ?

Les fonctionnaires de l’Infrastructure nationale d’Israël affirment —tel que l’affirme également, comme on aurait pu s’y attendre, la compagnie texane Noble Energy ainsi que la compagnie norvégienne Petroleum Geo-Services— que les trois champs découverts se trouvent en “zone économique” israélienne. Quelle précision de la géographie divine !

Al Manar (4 juin 2010), le média du Hezbollah fustige “Israël [qui] est sur le point de légaliser le vol du gaz libanais” par un amendement législatif. Il cite la télévision israélienne rapportant que le gouvernement du duo Netanyahu-Lieberman “considère la découverte des champs de gaz naturel dans la Méditerranée comme une découverte israélienne sur laquelle personne (super sic !) n’a de droit”.

Nom d’un diable ! Qu’en est-il alors du droit international transfrontalier lorsque la technique du siphonnage de ce qui appartient à autrui est utilisée par les transnationales anglo-saxonnes dotées d’une meilleure technologie que celle des pays affectés, pour ne pas dire spoliés ?

Pire encore, selon la chaîne de télévision déjà citée, “le comité exécutif du gouvernement et la Knesset (Parlement) préparent une loi qui écarterait le droit des Libanais”. Au besoin, l’armée israélienne sera là pour appliquer de manière unilatérale la nouvelle loi de spoliation.

En dehors du légendaire saccage israélien des territoires occupés, sous tous ses aspects, avec ou sans “cartes géographiques” ou lois pour le justifier, la classe politique libanaise, à cause de ses querelles internes stériles sur l’identité de l’heureux exploitant et producteur de pétrole et de gaz, a laissé filer une précieuse décennie : un vide temporel et territorial qui a été exploité par Israël.

Au mois d’octobre dernier, la compagnie norvégienne Petroleum Geo-Services avait communiqué sur la forte probabilité qu’il existe de grands gisements aussi bien au Liban qu’à Chypre. À propos de ce dernier cas, il semblerait que les gisements seraient repartis entre les deux pays voisins. Que d’artifices souverains nous présente la géographie !

Pour le Liban, n’importe quel type de découverte pétrolière et gazière constituerait une bénédiction qui permettrait de réduire la formidable dette atteignant 52 milliards de dollars, l’une des plus importantes du monde proportionnellement (147 %) à son produit intérieur brut (PIB) de 33 milliards de dollars.

Cependant, il ne faut pas surestimer la dette libanaise, sans doute énorme, car elle est amortie par des dépôts bancaires colossaux allant jusqu’à 110 milliards, ce qui facilite sa gestion.

Quoi qu’il en soit, les nouvelles découvertes de pétrole et de gaz au Liban —souveraines ou partagées avec Israël ou avec Chypre— atteigneraient le chiffre mirifique d’un milliard de milliard de dollars.

Osama Habib, du quotidien libanais en anglais The Daily Star (28 juin 2010), a affirmé que “la richesse du pétrole et du gaz du Liban représente une bénédiction mitigée qui génère en même temps de l’enthousiasme et de l’angoisse” (de par ses conséquences géopolitiques). Elle a révélé au grand jour la lutte primaire des politiciens libanais pour l’obtention de la meilleure part du gâteau dans la gestion des hydrocarbures.

Selon les experts, la production ne sera effective qu’après 15 ans d’exploration des eaux libanaises, mais le risque majeur vient de l’appétit insatiable d’Israël, qui serait capable, une énième fois, d’entreprendre une nouvelle guerre afin de s’approprier du gaz de Gaza et des hydrocarbures du Liban et de Chypre.
Alfredo Jalife-Rahme

Traduction
Marina Almeida

[1] Au début des années 2000. cette question avait opposé le président libanais Emile Lahoud d’une part, à son Premier ministre Rafic Hariri et au président français Jacques Chirac, d’autre part, lorsque des navires de la Marine française avaient illégalement entrepris de sonder les fonds marins libanais. Malgré la campagne médiatique internationale pour le dénigrer, le président Lahoud avait refusé de céder les intérêts libanais aux Français. Il s’en était suivi un blocage politique et le gel de l’exploration. Ndlr
http://www.voltairenet.org/Israel-attaquera-t-il-le-Liban
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Message  Loatse Dim 12 Juin - 6:57

Les réserves découvertes dans les champs de Tamar et de Dalit sont colossales : 160 milliards de mètres cubes avec lesquels on peut satisfaire les besoins des Israéliens pendant deux décennies.

On en parle dans le journal Haaretz ;

Publié à 01 : 33 12.06.11
Electric Company cesse les pourparlers avec Tamar
La décision est la répercussion premier après décision dramatique de l'état d'imposer des contrôles de prix sur le gaz naturel.
Par avi Bar-Eli

L'Israël Electric Corporation a suspendu les négociations pour acheter le gaz naturel de la Tamar partenariats d'exploration, suite à une décision réglementaire que l'utilitaire ne peut pas rouler sur le coût plus élevé sur les consommateurs.

La CEI a informé les sociétés développant le champ Tamar du gaz de sa décision le jeudi.

Cette décision arrêtée efficacement les pourparlers avec les partenaires de Tamar, qui n'ont voulu en fait payer plus pour le gaz.

Le « accord » est une lettre d'intention signée en décembre 2009 entre la CEI et les partenaires de Tamar pour l'achat de 2,7 milliards de mètres cubes de gaz plus de 15 ans, à un coût de 9,5 milliards de dollars. Le prix du gaz à l'époque était entre 4,50 $ à 5 $ par millions d'unités thermiques britanniques. Mais aucun accord définitif n'a été signé, et après six mois de négociations les partenaires de Tamar interrompu les négociations, en partie en raison de la formation du Comité Sheshinski. Le gouvernement a formé un comité dirigé par l'économiste Eitan Sheshinski de revoir la politique sur les redevances de l'exploitation des ressources naturelles, y compris les champs de gaz que se retrouve dans le fond de la mer Méditerranée. Il y a deux mois, quelque temps après que le Comité a recommandé que le gouvernement d'augmenter sa part du profit, bien qu'après que les sociétés retourné leur investissement, les partenaires de Tamar ont exigé d'un prix 35 % à 40 % plus élevée que dans la lettre d'intention originale : maintenant, ils voulaient 6 $ à 6,50 $ par mBTU. Qui augmenterait à son tour coût de la CEI de production par 3 à 4 milliards de dollars.

Aussi, le prix que le monopole de la puissance nationale paie pour le gaz est un point de référence pour les autres contrats, les partenaires de Tamar signent avec Israël corporate, y compris dans les stations privées de pouvoir rivaliser avec la CEI. Si l'IEC s'engage à payer plus cher pour gaz de Tamar, les partenaires pourraient bien demande plus d'autres clients.

Sources à l'IEC soupçonnait que les partenaires de Tamar prenaient avantage de leur position comme source seulement israélienne de gaz lorsqu'ils commencent dans un proche avenir - production et parce que la CEI est proche du plafond de son quota de gaz il peut acheter celui ci en Égypte. (La fourniture de gaz d'Égypte a repris ce vendredi dernier, après la dernière sabotage du pipeline le 27 avril).
Ensuite, le pétrole :

Les états unis investissent 9 millions de dollars dans les entreprises en démarrage des carburants de remplacement israéliens.
Une coentreprise israélien-American de développement de carburants de remplacement de matières premières cellulosiques a marqué un investissement de 9 millions de dollars par le U.S. Department of Energy.

HCL vise à produire le combustible sur les détritus de l'agriculture et de l'industrie du bois. Environ 27 % du poids masse solid de matériel végétal est la lignine, un composé chimique se trouve dans les parois intérieures d'arbres, de plantes et de certaines algues. Un autre 68 % de sucres, et le reste est huiles.

Le démarrage HCL tire son nom à l'aide de l'acide chlorhydrique (HCl) pour extraire les sucres de la biomasse cellulosique. Le principal problème technique, d'un point de vue économique, devait reprendre pour réutiliser une masse critique d'acide concentré extraite du processus de production.

« Nous prenons les déchets agricoles et les transformons en nourriture pour l'homme et de la bête, a déclaré Baniel. « Il peut aussi servir comme une alternative fuel. » Les déchets agricoles peuvent provenir de transformation industrielle de maïs, canne à sucre, céréales et beaucoup plus, a-t-il ajouté.

Un chicot que le démarrage de l'israélien avait à surmonter était qu'Israël ne produit pas de déchets agricoles assez pour un traitement efficace en sucres. "Nous avons besoin des centaines de tonnes par jour, et c'est pour une petite plante, a déclaré Baniel. Sa première usine industrielle doit être prêt à rouler en 2013, des États-Unis, mais le démarrage envisage déjà plus de 13.

le Processus de base de la compagnie a été inventé par un scientifique allemand, Friedrich Bergius, en 1913. Presque deux décennies plus tard, en 1931, Bergius a reçu le prix Nobel de chimie pour ses développements en chimie à haute pression. Son invention était un moyen de produire un carburant synthétique de l'hydrogénation du lignite, connu comme la lignite. Le gouvernement allemand a abandonné son utilisation au cours de la seconde guerre mondiale en raison de son coût.

Je te donne mon avis : A moins de faire la guerre au monde entier, enfin aux pays détenteurs de pétrole, les états unis et israel conscients que cette matière première est en cours de raréfaction (pour ne pas dire d'extinction) à moins d'exploiter des forages très profonds, couteux et extrèmement dangereux (voir l'accident dans le golf du mexique), ce qui d'ailleurs ne fait que retarder le processus, préfèrent mettre en oeuvre une autre source d'énergie...

Or, il vaut mieux penser à long terme (à moins d'être stupide) et finaliser cette solution que de chercher à s'approprier les champs pétrolifères des autres.. Je n'oublie pas non plus que le liban est en grande partie musulman, que le risque de conflit avec les pays entourant israel est important, le "jeu" en vaut il la chandelle ?









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Message  Loatse Dim 12 Juin - 7:15

Autre chose : le bateau (français) pour Gaza qui part le 18 juin....

Lu sur Ashkel :affraid: , reste plus qu'à attendre ce que va en penser le gouvernement israelien, s'ils vont euh "tiquer" ou non :o )

http://www.aschkel.info/article-communique-la-france-a-t-elle-declare-la-guerre-a-israel-75852296.html



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Message  Non2 Dim 12 Juin - 7:44

Rhââââ les traductions électroniques ! :D ... IED, j'ai trouvé : Israel Electric Corporation. Mais CEI, c'est la CEI "russe" ?

Sur la transformation des déchets agricoles, je ne suis d'accord avec toi qu'à la base, parce que si on y réfléchit un peu du moins en tant qu'horticulteur), ça fait partie des fausses bonnes idées. Si on commence à drainer ces déchets agricoles vers l'indutrie énergétique, qu'en va-t-il rester pour l'engraissement des sols ? Ce sera encore une fois tout bénéfice pour l'agro-industrie, les fabricants d'engrais chimiques (fabriqués à base de résidus de pétrole, soit dit en passant), les tenants du hors sol, ceux des OGM, et les empoisonneurs de bouffe en tous genres.

Bien sûr, les USA et Israël font des recherches vers des sources d'énergie plus propres, alternatives, etc. Probablement d'ailleurs dans la même proportion que bien d'autres pays, c'est à dire extrêmement moins que pour les sources "classiques".

Quant à dire que le Liban est un pays musulman, faut le dire vite ... dans sa constitution, le Liban est une république parlementaire à démocratie confessionnelle, c'est à dire dont le système politique est fondé sur une répartition du pouvoir plus ou moins proportionnelle au poids de chaque communauté religieuse, et dont le président est obligatoirement un chrétien maronite, le premier ministre musulman sunnite, le président de l'Assemblée nationale musulman chiite.
Donc non seulement, c'est un système multi-confessionnel en (dés)équilibre permanent, dont la structure obligatoirement figée a pour but de calmer les tensions, mais il y a en plus la question des réfugiés palestiniens et de leur nationalisation, alors que ces Palestiniens ont leur propre système politique et leur propre organisation, et qu'ils risquent par leur simple présence, de mettre en danger le fragile équilibre du Liban.
Ce pays est donc, à son grand dam, une possible cause de tensions entre pays arabes. Sad
(référence)
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