¡ Hasta siempre, Alberto !
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¡ Hasta siempre, Alberto !
Ce lundi 7 mars est décédé Alberto Granado. Né le 8 août 1922 en Argentine, il avait été le compagnon d'enfance d'Ernesto "Che" Gevara, et c'est ensemble qu'ils avaient fait leur tour d'Amérique du Sud sur une Norton "Poderosa" 500 cc en 1952.
Il est mort à Cuba, et sera incinéré samedi à La Havane. Ses cendres seront dispersées, selon sa volonté, à Cuba, en Argentine et au Vénézuela.
En compagnie du président Chavez :
En compagnie du Che, il y a un peu plus longtemps :
Il est mort à Cuba, et sera incinéré samedi à La Havane. Ses cendres seront dispersées, selon sa volonté, à Cuba, en Argentine et au Vénézuela.
En compagnie du président Chavez :
En compagnie du Che, il y a un peu plus longtemps :
Non2- Messages : 3620
Date d'inscription : 03/01/2010
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Re: ¡ Hasta siempre, Alberto !
je rajoute quelques images...
Un voyage qui a peut être changé la face du monde...
"Ce voyage va-t-il être à l’origine d’une prise de conscience quant aux conditions de vie des peuples d’Amérique latine ?
Alberto Granado. Oui. Il m’en coûtait et il me coûte toujours d’avouer que ce voyage fut si important. Les années passant, les livres écrits, le film réalisé, on se rend compte que des étapes du voyage constituent de nouveaux points de départ, et mises au point de la vie. En Argentine, un berger nous a raconté l’exploitation. Ernesto a fait la connaissance d’une vieille dame qui avait été l’esclave d’une famille qui voulait la congédier parce qu’elle ne pouvait plus travailler. Il considérait que les gouvernants devaient plus se préoccuper des gens que de leur monde."
Descanse en paz, Alberto...
Un voyage qui a peut être changé la face du monde...
"Ce voyage va-t-il être à l’origine d’une prise de conscience quant aux conditions de vie des peuples d’Amérique latine ?
Alberto Granado. Oui. Il m’en coûtait et il me coûte toujours d’avouer que ce voyage fut si important. Les années passant, les livres écrits, le film réalisé, on se rend compte que des étapes du voyage constituent de nouveaux points de départ, et mises au point de la vie. En Argentine, un berger nous a raconté l’exploitation. Ernesto a fait la connaissance d’une vieille dame qui avait été l’esclave d’une famille qui voulait la congédier parce qu’elle ne pouvait plus travailler. Il considérait que les gouvernants devaient plus se préoccuper des gens que de leur monde."
Descanse en paz, Alberto...
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