Saint Drome, priez pour nous... :)
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Saint Drome, priez pour nous... :)
Saviez vous qu'il existe un syndrome qui se nomme le syndrome de Stendhal ?
Il est dépistable en calculant les pulsations cardiaques des visiteurs de musées, tout particulièrement lorsque ces personnes se trouvent devant une oeuvre d'art... eh voui, l'émotion, l'enthousiasme est devenu syndrome...
Il est en un qui touche particulièrement les visiteurs de Jérusalem... Tantôt ils s'évanouissent, tantôt ils se prennent pour Jésus, ou bien les deux... :D C'est assez courant paraît-il...
N'oublions pas de mentionner également le syndrome de Paris. Celui-ci touche les visiteurs nippons qui, s'attendant à voir "la ville de lumière", tombent tellement fort des nues que la déception engendrée nécessite des soins, voire un rapatriement en urgence...
Pour ma part, j'avoue avoir souffert du syndrome de la canebière lol... mais j'accuse Gosciny de m'avoir induit en erreur. Dans un des albums d'Astérix, notre fameuse paire de gaulois marchait sur la canebière toute de planches dessinée...
Arrivée dans le var, je trépigne d'impatience à l'idée d'aller marcher moi aussi sur cet endroit non loin qui a tout de Trouville...
C'est en parcourant une avenue grise, moche et sans âme que j'ai eu l'une des grandes déceptions de ma vie... Ou se trouve la canebière siouplé ? demandai je à un passant... Gros yeux ronds puis un " bin vous etes dessus ma p'tite dame !"
rhaaaaaaaaaa,
Cela vous parle t'il ???
http://www.20minutes.fr/article/587361/culture-etes-vous-atteint-du-syndrome-de-stendhal
Il est dépistable en calculant les pulsations cardiaques des visiteurs de musées, tout particulièrement lorsque ces personnes se trouvent devant une oeuvre d'art... eh voui, l'émotion, l'enthousiasme est devenu syndrome...
Il est en un qui touche particulièrement les visiteurs de Jérusalem... Tantôt ils s'évanouissent, tantôt ils se prennent pour Jésus, ou bien les deux... :D C'est assez courant paraît-il...
N'oublions pas de mentionner également le syndrome de Paris. Celui-ci touche les visiteurs nippons qui, s'attendant à voir "la ville de lumière", tombent tellement fort des nues que la déception engendrée nécessite des soins, voire un rapatriement en urgence...
Pour ma part, j'avoue avoir souffert du syndrome de la canebière lol... mais j'accuse Gosciny de m'avoir induit en erreur. Dans un des albums d'Astérix, notre fameuse paire de gaulois marchait sur la canebière toute de planches dessinée...
Arrivée dans le var, je trépigne d'impatience à l'idée d'aller marcher moi aussi sur cet endroit non loin qui a tout de Trouville...
C'est en parcourant une avenue grise, moche et sans âme que j'ai eu l'une des grandes déceptions de ma vie... Ou se trouve la canebière siouplé ? demandai je à un passant... Gros yeux ronds puis un " bin vous etes dessus ma p'tite dame !"
rhaaaaaaaaaa,
Cela vous parle t'il ???
http://www.20minutes.fr/article/587361/culture-etes-vous-atteint-du-syndrome-de-stendhal
Dernière édition par NoHoax le Mer 4 Aoû - 12:40, édité 2 fois
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Re: Saint Drome, priez pour nous... :)
Bordu de bordu, tu es allé à Venise non 2 ?
tu as soupiré sous le pont des soupirs
asphyxié par les vaporetto ?
A été empesté par les rejets des égouts ?
Par les détritus dans les canaux ?
sinon c'était beau, la piazza san Marco ???
humpf, pour les tofs, ca arrive parfois avec la maintenance... font des travaux fofo actif surement :D
tu as soupiré sous le pont des soupirs
asphyxié par les vaporetto ?
A été empesté par les rejets des égouts ?
Par les détritus dans les canaux ?
sinon c'était beau, la piazza san Marco ???
humpf, pour les tofs, ca arrive parfois avec la maintenance... font des travaux fofo actif surement :D
Re: Saint Drome, priez pour nous... :)
Jesolo pour être précis. J'ai visité Venise (juste à côté) et j'ai soupiré tout le long, tellement il faisait chaud. Outre l'odeur, j'en ai surtout conservé l'image d'une ville avec un grand marché piège à touristes et la place saint-Marc, qui a du être très belle il y a quelques centaines d'années. La cathédrale m'a donné l'impression d'un immense grenier fourre-tout. Pour le reste, rien d'impérissable.
J'étais parti pour deux semaines là plus une en Autriche, mais c'était tellement irrespirable que j'y suis resté trois jours puis suis remonté sur le Tyrol vite fait pour le restant (sint-Johann im Defferegen, si mes souvenirs sont bons).
J'étais parti pour deux semaines là plus une en Autriche, mais c'était tellement irrespirable que j'y suis resté trois jours puis suis remonté sur le Tyrol vite fait pour le restant (sint-Johann im Defferegen, si mes souvenirs sont bons).
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Re: Saint Drome, priez pour nous... :)
Euh, je voudrions pas dire mais partir là bas en été ca craint non2 ! Et comme mon désir de voir Venise (à cause d'un livre : l'anneau du pêcheur) ne s'est pas évaporé, j'irais au printemps... avant que ça ne "puire" :P
Le Tyrol, on n'est jamais décu, c'est d'une beauté à couper le souffle
Des syndromes y'en a plétore....
Celui du père noel, le jour ou l'on découvre les cadeaux sous le lit des grands parents
Celui auquel je n'ai toujours pas trouvé de nom, quand on réalise à la sortie de l'enfance ou bien avant que les parents n'ont pas arrêté de faire des galipettes, le jour de notre conception.. :D
Le syndrome du western ou du feuilleton policier, le jour ou l'on s'aperçoit que la réalité rejoint la fiction...
Le syndrome du prince et de la bergère... le jour ou l'on découvre que les gens s'unissent en fonction du kilo d'euro que chacun possède...
le syndrome de la joue tendue... qui incite les gens à vous prendre pour un putching ball :twisted:
j'en oublie ??
Le Tyrol, on n'est jamais décu, c'est d'une beauté à couper le souffle
Des syndromes y'en a plétore....
Celui du père noel, le jour ou l'on découvre les cadeaux sous le lit des grands parents
Celui auquel je n'ai toujours pas trouvé de nom, quand on réalise à la sortie de l'enfance ou bien avant que les parents n'ont pas arrêté de faire des galipettes, le jour de notre conception.. :D
Le syndrome du western ou du feuilleton policier, le jour ou l'on s'aperçoit que la réalité rejoint la fiction...
Le syndrome du prince et de la bergère... le jour ou l'on découvre que les gens s'unissent en fonction du kilo d'euro que chacun possède...
le syndrome de la joue tendue... qui incite les gens à vous prendre pour un putching ball :twisted:
j'en oublie ??
Re: Saint Drome, priez pour nous... :)
Oui, fantastique pays, le Tyrol ! Des souvenirs impérissables, avec le pays comme avec les gens.
Celui du père Noël, je n'ai pas connu. Au contraire, j'ai eu droit à une explication de "mon" institutrice de 1ère primaire pour me faire comprendre que ce n'était pas à moi d'expliquer aux autres qu'il n'existait pas, que c'était une fête païenne récupérée par les catholiques, et que c'était contraire aux enseignements du christ qui avait dit de célébrer sa mort et n'a jamais parlé de son anniversaire. Tu vois le topo ! :D
Pour les parents, c'était plutôt de découvrir qu'ils pouvaient mentir. Mais comme je savais déjà qu'ils pouvaient se tromper, se laisser berner ou garder le silence sur certaines choses, ça n'a pas été trop dur. Par contre, les mensonges et les tromperies des profs ont été plus durs à avaler.
Le syndrome du western ? Quand on s'aperçoit que la réalité est pire que la fiction, oui. Pour moi, après avoir vu "Soldier blue".
Le syndrome du prince et de la bergère ? Pas sûr de l'avoir réalisé, celui-là ! :D
La joue tendue, ça a un temps donné l'inverse après l'avoir réalisé : je suis passé à "pour une dent toute la gueule". Ce qui n'apporte pas beaucoup plus.
Des oublis ? Heu, ...
Le syndrome du croyant, quand on s'aperçoit qu'on vit dans un pays qui n'est démocratique qu'en fonction de ce qu'il veut bien en laisser croire. Je le mettrai en rapport avec le syndrome de Billancourt (quand on s'aperçoit que d'autres régimes ne valent pas mieux) et du syndrome du libertador (quand on s'aperçoit que notre libération par d'autres n'est qu'une prise d'influence d'intérêts économiques).
Le syndrome de l'unique, quand on s'aperçoit que même le meilleur ami peut avoir d'autres buts que ceux qu'on a soi-même (un très positif, celui-là).
Le syndrome de la limite, quand on s'aperçoit qu'on n'assimile pas forcément tout en en entendant parler, et qu'il faut approfondir certaines choses pour bien les appréhender. On en a la poursuite dans le syndrome du vieux schnock, quand on s'aperçoit que la mémoire a des limites ! :D
Le syndrome de Monsieur Météo, quand on s'aperçoit qu'on peut faire des erreurs dans les prévisions qu'on estime les plus probables.
Encore bien d'autres, très certainement.
Celui du père Noël, je n'ai pas connu. Au contraire, j'ai eu droit à une explication de "mon" institutrice de 1ère primaire pour me faire comprendre que ce n'était pas à moi d'expliquer aux autres qu'il n'existait pas, que c'était une fête païenne récupérée par les catholiques, et que c'était contraire aux enseignements du christ qui avait dit de célébrer sa mort et n'a jamais parlé de son anniversaire. Tu vois le topo ! :D
Pour les parents, c'était plutôt de découvrir qu'ils pouvaient mentir. Mais comme je savais déjà qu'ils pouvaient se tromper, se laisser berner ou garder le silence sur certaines choses, ça n'a pas été trop dur. Par contre, les mensonges et les tromperies des profs ont été plus durs à avaler.
Le syndrome du western ? Quand on s'aperçoit que la réalité est pire que la fiction, oui. Pour moi, après avoir vu "Soldier blue".
Le syndrome du prince et de la bergère ? Pas sûr de l'avoir réalisé, celui-là ! :D
La joue tendue, ça a un temps donné l'inverse après l'avoir réalisé : je suis passé à "pour une dent toute la gueule". Ce qui n'apporte pas beaucoup plus.
Des oublis ? Heu, ...
Le syndrome du croyant, quand on s'aperçoit qu'on vit dans un pays qui n'est démocratique qu'en fonction de ce qu'il veut bien en laisser croire. Je le mettrai en rapport avec le syndrome de Billancourt (quand on s'aperçoit que d'autres régimes ne valent pas mieux) et du syndrome du libertador (quand on s'aperçoit que notre libération par d'autres n'est qu'une prise d'influence d'intérêts économiques).
Le syndrome de l'unique, quand on s'aperçoit que même le meilleur ami peut avoir d'autres buts que ceux qu'on a soi-même (un très positif, celui-là).
Le syndrome de la limite, quand on s'aperçoit qu'on n'assimile pas forcément tout en en entendant parler, et qu'il faut approfondir certaines choses pour bien les appréhender. On en a la poursuite dans le syndrome du vieux schnock, quand on s'aperçoit que la mémoire a des limites ! :D
Le syndrome de Monsieur Météo, quand on s'aperçoit qu'on peut faire des erreurs dans les prévisions qu'on estime les plus probables.
Encore bien d'autres, très certainement.
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Re: Saint Drome, priez pour nous... :)
Celui du père Noël, je n'ai pas connu. Au contraire, j'ai eu droit à une explication de "mon" institutrice de 1ère primaire pour me faire comprendre que ce n'était pas à moi d'expliquer aux autres qu'il n'existait pas, que c'était une fête païenne récupérée par les catholiques, et que c'était contraire aux enseignements du christ qui avait dit de célébrer sa mort et n'a jamais parlé de son anniversaire. Tu vois le topo !
Si tu savais le nombre de mômes décus qui mouftent parce qu'ils veulent que les autres soient aussi déçus qu'eux, je dirai 100% moi compris !
Pour les parents, c'était plutôt de découvrir qu'ils pouvaient mentir. Mais comme je savais déjà qu'ils pouvaient se tromper, se laisser berner ou garder le silence sur certaines choses, ça n'a pas été trop dur. Par contre, les mensonges et les tromperies des profs ont été plus durs à avaler.
Comme on ment aux profs, ils transmettent eh !
Le syndrome du western ? Quand on s'aperçoit que la réalité est pire que la fiction, oui. Pour moi, après avoir vu "Soldier blue".
Pas vu ce film, mais comme je sens qu'il va me coller le blues, je vais alterner avec Les 12 travaux Astérix (avec depardieu et le comédien comique belge dont j'ai oublié le nom)
Le syndrome du prince et de la bergère ? Pas sûr de l'avoir réalisé, celui-là !
Un prince saoudien déguisé en épicier arabe a un jour essayé de me séduire en me proposant en échange un tapis (pur laine heing) et un saladier géant (pour le couscous ?) (L'est fou, lui et le chameau alors ???? )
La joue tendue, ça a un temps donné l'inverse après l'avoir réalisé : je suis passé à "pour une dent toute la gueule". Ce qui n'apporte pas beaucoup plus.
C'est le syndrome de la racine carrée ca !
.Le syndrome du croyant, quand on s'aperçoit qu'on vit dans un pays qui n'est démocratique qu'en fonction de ce qu'il veut bien en laisser croire. Je le mettrai en rapport avec le syndrome de Billancourt (quand on s'aperçoit que d'autres régimes ne valent pas mieux) et du syndrome du libertador (quand on s'aperçoit que notre libération par d'autres n'est qu'une prise d'influence d'intérêts économiques)
Humpf....
Le syndrome de l'unique, quand on s'aperçoit que même le meilleur ami peut avoir d'autres buts que ceux qu'on a soi-même (un très positif, celui-là).
J'préfère, j'aime pas les clones... :evil:
Le syndrome de la limite, quand on s'aperçoit qu'on n'assimile pas forcément tout en en entendant parler, et qu'il faut approfondir certaines choses pour bien les appréhender. On en a la poursuite dans le syndrome du vieux schnock, quand on s'aperçoit que la mémoire a des limites !
Pas d'accord sur le syndrome du vieux shnock, c'est parce qu'on a la tête plus remplie avec l'âge qu'on a du mal à tout retrouver, c'est le syndrome du bordelique intériorisé :D
Le syndrome de Monsieur Météo, quand on s'aperçoit qu'on peut faire des erreurs dans les prévisions qu'on estime les plus probables.
T'aime pas les surprises ???
Sinon, il y a aussi le syndrome de la girouette qui consiste à écouter les conseils qu'on n'a pas demandé, les avis éclairés de ceux qui savent mieux que vous (généralement les plus jeunes). Le jour ou ça vous passe, ca surprend tellement qu'on vous catégorise "fichu caractère"... moi je dis ca s'appele savoir ce que l'on veut et s'y tenir. :twisted:
et le syndrome de la tartine qui consite à répondre à une tartine par une autre tartine qui elle même engendre une autre tartine mais là, c'est que du bonheur !
Re: Saint Drome, priez pour nous... :)
Mouais ... là, c'était du prosélytisme, puisque c'est ce qu'on m'apprenait.NoHoax a écrit:Si tu savais le nombre de mômes décus qui mouftent parce qu'ils veulent que les autres soient aussi déçus qu'eux, je dirai 100% moi compris !
Pas vu, mais c'est une bonne idée (que je vais peut-être copier) :DNoHoax a écrit:Pas vu ce film, mais comme je sens qu'il va me coller le blues, je vais alterner avec Les 12 travaux Astérix (avec depardieu et le comédien comique belge dont j'ai oublié le nom)
C'est à dire ?NoHoax a écrit:.Le syndrome du croyant, ...
Humpf....
Œuf corse ! Mais à 8 ou 10 ans, ...NoHoax a écrit:J'préfère, j'aime pas les clones... :evil:
Annèfè ! Mais je suis aussi extérieur qu'intérieur dans ce domaine-là !NoHoax a écrit:Pas d'accord sur le syndrome du vieux shnock, c'est parce qu'on a la tête plus remplie avec l'âge qu'on a du mal à tout retrouver, c'est le syndrome du bordelique intériorisé :D
Oh que nenni ! :affraid:NoHoax a écrit:T'aime pas les surprises ???
Mais là, je pensais surtout au disco. Quand c'est apparu (milieu des années '70 ?), j'étais sûr que quelque chose d'aussi stupide et abrutissant ne pourrait jamais durer. Je me suis malheureusement trompé.
Ah oui, à fond ! Sauf que les avis éclairés me venaient surtout des plus vieux. Mais la catégorie "fichu caractère a cet avantage qu'ils n'osent plus donner d'avis, jeunes ou vieux ! :DNoHoax a écrit:Sinon, il y a aussi le syndrome de la girouette qui consiste à écouter les conseils qu'on n'a pas demandé, les avis éclairés de ceux qui savent mieux que vous (généralement les plus jeunes). Le jour ou ça vous passe, ca surprend tellement qu'on vous catégorise "fichu caractère"... moi je dis ca s'appele savoir ce que l'on veut et s'y tenir. :twisted:
Une tranche de pain, une couche de sirop pommes/poires ou de miel, une couche de saucisson d'Ardenne à l'ail et une couche de fromage de chèvre ou de brebis, rondelles de concombres, cornichons et petits oignons.NoHoax a écrit:et le syndrome de la tartine qui consite à répondre à une tartine par une autre tartine qui elle même engendre une autre tartine mais là, c'est que du bonheur !
MIAM !
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